[Quête / Sous-scénario] Le USG Ishimura

Manque plus qu'un bidon d'essence, et ça sera parfait

*le met dans sa poche*
*cherche des issues*

Nan mais examiner dans le sens de lire >_<

On sait tous que tu sais pas lire

Ba va lire ,alors toi qui est si malin.

Et vous savez, la quête continue même si le forum est mort.

*s'y glisse*

*va à gauche*
*suppose que le liquide s'apparente au sang*

*Suit Lerok dans le conduit mais passe à droite*
Beurk, pourquoi c'est moi qui prend le côté crade ?

Parce que t'es communiste.

Lerok trouve... une machine à écrire. Un ancien calibre, le genre d'antiquité que l'on trouve dans les manoirs de vieux riches séniles qui collectionnent les objets venus de Lordie. La touche "espace" semble être coincée, et le mécanisme ne cesse de presser sur la feuille et le cran de métal derrière celle-ci, causant le bruit répétitif de tout à l'heure. Sur la feuille, quelqu'un a écrit ceci :

Ils sont là, ils arrivent. Je les entend venir.
Ce ne sont pas des monstres. Ils ont nos visages. Ils ont nos souvenirs. Mais ce ne sont pas nous.
Hier, j'ai essayé de parler avec l'un d'eux. Il s'est retourné, c'était Georges, le gars de la climat'. Il m'a regardé quelques secondes, et puis
ca gratte contre le mur il y a quelque chose derriere
peux pas menfuir
ils passent par les tuya

Autrement, Lerok peut observer une petite salle carrée de quelques mètres, qui semble être l'humble chambre d'un concierge. Tout est bordélique ; le drôle de hamac qui servait de lit à la personne qui habitait ici est renversé, des factures de points ISHI traînent un peu partout... Il y a une porte qui mène au couloir, mais un court regard permet de voir qu'elle ne s'ouvrira pas ; elle est défoncée, cabossée, et par un trou en forme d'ovale en son milieu, on peut voir qu'un meuble y est collé de l'autre côté, comme si quelqu'un tentait d'empêcher quelque chose d'en sortir.
Tout ce qu'il y a d'intéressant et d'intact dans cette chambre semble être le bureau sur lequel trône la machine à écrire. Il a deux petits tiroirs.

De son côté, Shara s'enfonce de plus en plus dans les conduits, et plus elle avance, plus les taches de liquide se font nombreuses. Une odeur répugnante effleure ses narines. Elle peut entendre des grattements bizarres contre la paroi du conduit. Néanmoins, il semblerait qu'une dizaine de mètres à l'avant, il y a ait une petite lumière. Peut-être une sortie ? En tous les cas, ce chemin n'a rien de rassurant...

Ils passent par les tuya?
Mais qu'est-ce que ça peut bien vouloir dire?

*avise les tiroirs*
*pointe son pitolet à clou au dessus*
*en ouvre un*

*Continue d'avancer, pas très rassurée*

Cour rattrapé le groupe!

Lerok peut admirer une main qui a été coupée de son poignet. Étrangement, elle serre un petit pendentif, ainsi qu'un bout de papier sur lequel il est inscrit "Mets-le, P".

Shara arrive finalement à la fin du passage étroit, et le trou de lumière semble mener dans une cabine, probablement encore celle d'un concierge. La lumière étant allumée - fait étrange, par ailleurs, puisqu'elles sont censées avoir été coupées - elle peut clairement voir que le liquide malodorant était, comme elle s'en doutait peut-être, du sang. En effet, le sang tapisse une grande part des murs, et, dans un coin de la chambre, elle peut voir traîner un bras qui a été coupé à hauteur d'épaule et dénué de main. Le bras, vu sa minceur, semble avoir appartenu à une femme. Il y a deux petits meubles servant à ranger le linge dans la chambre, dont l'un est renversé et défoncé mais l'autre à peu près intact. Autrement, il y a un petit lit, un placard assez étroit mais haut comme un homme et un bureau coupé verticalement en son milieu. Il ne semble y avoir personne, c'est à se demander pourquoi la grille d'aération a été arrachée.

Aedjis doit choisir un chemin s'il veut continuer.

*tout droite (comme le nain de Donjon de NHBK)*

MA MAIN!

*met le pendentif dans sa poche*
*récupère sa main*
*s'en sert pour ouvrir le second tiroir*

*droite*