Minas Twulipïne

Je vois pas de "trou" dans l'anatomie féminine commençant par C. Je pensais pourtant connaître ça sur le bout des doigts, un des chapitres principaux de ma matière forte...

Ca désigne aussi un animal terrien...

Ceci n'est pas dans mes fiches de révision...
Le crocodile?

Volpel : Ca peut aussi désigner une reine PV qui est plus ou moins ma grande-tante.

Un caribou?

Non. Une batte. Ah non, je me suis trompé de lettre je crois...

*frappe à la porte d'Aeris*

*Etait allongée sur son lit a penser*
Tiens tiens on pense à moi! ><

Si c'est le Roy qu'il aille s'occuper de la politique, bien plus important que moi.
Si c'est mon indigne de père qu'il aille se faire voir, j'ai pas l'air de compter pour lui =='
Si c'est mon idiot d'ex... il ferait mieux de dégager.

*Sent que c'est Lerok*

Et vite.

*frappe une seconde fois*

...

*Aucun doute*

DEGAGE.

*ouvre la porte*

J'adore ton accueil.
Wah!
T'es super pâle! Ca fait combien de temps que t'es pas sortie?

Là, 2 jours.
Je croyais avoir fermé la porte à clé.
Comme quoi on fait même iruption dans le vie privée des gens maintenant.

*Se lève*
*Empêche Lerok d'avancer trop dans la pièce*

Quand quelqu'un s'enferme dans une pièce c'est qu'il ne veut pas recevoir de la visite. Et dans mon cas, surtout pas de toi.

Une dernière fois, sort.
J'en peux plus.

Mais t'as rien mangé! Ptin les volets sont tous fermés!

*prend Aeris par le bras*

Toi ma chérie t'as besoin d'air frais!

*l'emmène avec moi*

On va en ville!

*Se dégage d'un geste vif*

Je m'en moque!
Si je pouvais mourir de faim je pense pas que quiconque y fasse attention, bien au contraire! ><'

Fout-moi la paix.
Trouve-toi quelqu'un d'autre.
*Claque la porte*

Pas question!
Dis toi que je suis devenu gay depuis notre rupture, si ça peut t'aider à surmonter le dégoût que je t'inspire, mais tu as besoin d'un pote avec qui t'éclater. Sinon, tu vas devenir dépressive et névrosée!

Déjà fait.

Qu'est ce que ca peut te foutre?! ==
*Ferme à clé*

*Une fois cela fait, se jette dans son lit*

*est entré*

Si j'étais mesquin, et que je faisais le général de glace, celui que tu hais, je dirais que ton avocat me déjà pompe un fric monstrueux et que si tu te suicides, ça va me retomber dessus, et je devrai aller en taule.

Mais le truc tu vois, c'est que j'ai compris la leçon. Il y a une patate sous l'uniforme. Je t'aime, je m'inquiète pour toi. Et j'ai besoin de toi. Sans toi, il ne reste que le général, la coquille vide. Quand tu es avec moi je... j'oublie que je suis un meurtrier...

Un meurtrier, toi?
Bah peu importe...

Moi tu vois, je veux pas rester avec toi.
Parce que je sais que le général de glace il est là, et qu'il dépasse totalement la patate. C'est lui qui gère, c'est lui qui dirige.

Et d'ailleurs, j'espère que tu as pas oublié?
Moi si je vais en ville, ca ne va pas le faire.
L'Actulipien a parlé, j'ai acheté les chars... Bref je suis detestée de 80% de cette population, alors que tu en fasse partie ou pas ca ne change rien.

Je suis déjà morte en dedans, et tout ça c'est votre faute a vous trois.
Toi, mon père et ce "Meltard".
Vous m'avez détruit. Y'a plus rien a faire.
J'ai plus qu'a attendre de mourir de faim, ou comme tu me l'as fait remarqué, de me suicider. Ca ira plus vite.

*Lerok se rend soudain compte de l'odeur pesante qui domine dans la pièce, une odeur qu'il connaît bien: celle du tabac*

*plonge son regard dans celui d'Aeris*

Regarde moi...
Regarde là, au fond.
Regarde et dis moi que tu ne m'aimes plus, ou que tu ne m'as jamais aimé. Dis le moi sincèrement et je partirai.

Pas la petite mécano qui a trahi son gouvernement pour récupérer des plans, non, la patate aussi. Nous sommes tous les deux dépassés par notre métier. C'est ainsi. On n'acquiert pas autant de pouvoir et de puissance sans en payer le prix. C'est pour cela que l'on doit se soutenir mutuellement. Sinon, on finira par vraiment mourir, tous les deux. Tant que nous sommes ensembles, peu importe nos réputations. On se relèvera toujours, non?

*s'assoit à côté d'Aeris*

Tu fumes. Tu es stressée, pas vrai?

*Détourne le regard*

Oui je suis stressée, oui j'ai commencé a fumer ce que je n'avais jamais fait.

Mais tu vois, je n'ai plus envie de vivre avec toi, je n'ai plus envie de vivre avec personne.
J'ai pris conscience de la méchanceté des gens.
Et que tu le voulais ou pas, que tu regrettes ou non, tu m'as pourris la vie.

Je peux pas.
Je peux plus.

*Observe, accoudé à la porte*

Et si je te disais que je serais prêt à tout quitter pour toi?

*ferme les yeux*
*isole la pièce avec la Force*
*les sons ne passent plus la porte et les murs*


On s'en irait loin d'ici. Tu pourrais oublier et recommencer une nouvelle vie.

J'en vaut pas la peine.
Garde ton poste et laisse-moi moisir et m'éteindre.
Je ne dois mériter que cela après tout.
On ne déteste pas quelqu'un pour rien.

Maintenant Lerok, je te demande, moi, de quitter la pièce.
Sort, au moins pour que je puisse me plonger dans mes pensées et peut-être y remettre de l'ordre.

D'accord?
Et toi dégage aussi je veux pas te voir.
*Parle à l'adresse de Flo*

Bien sûr que tu en vaux la peine.
Réponds moi maintenant.

Moi non plus je veux pas te voir, juste regarder la scène, c'est instructif.