[Quête] Où plongent les Corbeaux

*envoie un clone*

Le clone pète, normal. Relié à Aedjis par la magie créatrice, ce dernier est touché également. Les clones dans les quêtes de Lerok, c'est comme les biscuit d'apéro Carrefour: pas terrible.

Aedjis est mort.

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Serge vous a pourtant mis sur la voie.

*DTC*
j'avais pas dit ou!
donc je suis pas mort

*apprivoise un belette et l'envoie en reconnaissance a la ligne d'arriver en dansant le disco*

J'm'en fous, c'est mon jeu je fais c'que j'veux.

La belette passe.

*fait de même passe la ligne d'arriver en dansant le disco*

*bouge, mais est coupé en deux*

Bleuh.

AS Niveau 1: Sombre Régénération.

*peut continuer la quête, et se met à reprendre un tube de Boney M en dansant le disco vers la porte*

*examine pour voir si il n'ya pas un code, ou si on peut y'aller de la manière forte*

*l'ouvre, tout simplement*

*sinon, examine la composition*

Je pensais pas que vous trouveriez aussi facilement.
En général, dés que vous voyez "blindé" ou "très solide", vous bourrinez sans chercher, mais une porte, suffit de l'ouvrir.

Vergil déboule dans une grande salle de commande. Elle est somptueusement décorée, avec des tapisseries qui encadrent les écrans de commande. Une patate est assise sur un siège de dos. On peut voir un chapeau dépasser du dossier du siège.

???: Vous en avez mis du temps.

*dégaine Coyote et vise la tête du gars, puis tire*

INSTANT WIN!

*mode Hawkeye on*

Mes balles ne marchent jamais ces temps-ci...

La balle n'atteint pas sa cible; et pour cuase: elle est coupée en deux, comme son proprio.

Oui je sais il bouge pas, y'a un bug j'arrive pas à faire un C/C avec les images depuis cet ordi, si quelqu'un pouvait le dépanner en éditant ce post et en mettant l'original, qui se trouve page 50 du topic des kaos, ça sera sympa!

(???): En voila des manières... Je me présente, Budd 'Jefe' Santiago. Je vous attendais. Je suis mandaté par Mr. Cudley pour vous exterminer. Mes deux collègues ont lamentablement échoué, mais je leur suis largement supérieur. On dit que je suis une sorte de dieu vivant du sabre. J'ai hâte de voir vos capacités à l'oeuvre.

*bloque le coup avec une de mes lames*

Toi aussi, tu es un ancien lieutenant de Fenrir passé au service de Cudley? Interessant...

*dégaine mes deux épées, Mormegil et Joyeuse*

Affûtage.

*augmente la puissance des techniques plus faibles que j'utilise*

Cross Stance.

*prend une position de combat appropriée, et reçoit le bonus d'Affûtage*

Montre-moi ce que tu vaux...

*s'assit et regarde le combat*
*est prêt a se protégé*

*Empoigne sa faux*

Clou d'Ombre

*soupire*
On ne peut vraiment pas en discuter tranquillement ? Je ne sais même pas ce que je fais ici.
*revêt son Masque Démentiel*
En tous les cas, si Monsieur veut vraiment en venir à la violence, il va me falloir utiliser les grands moyens. Tant qu'à chercher une carte, un chemin, une voie... *roule les yeux derrière son masque*
Talents du Marionnettiste *profite des effets des sorts "doigts du marionnettiste" et "mains du marionnettiste" en même temps*
*tend la main vers Santiago* Vous savez que vous allez perdre. Sinon, vous ne nous auriez pas avoué ce soi-disant "secret". Ou vous voulez simplement nous donner la volonté de gagner, afin de vivre un combat digne de ce nom. Dans les deux cas, votre intervention est inutile et indigne d'intérêt. Avec votre permission, j'aimerais finir cela rapidement. À vous l'honneur.

* vas prendre du maïs grillé*

*fixe un regard excessivement las sur Santiago, mais celui-ci ne paraît pas, masqué par les yeux rouges et fous du masque démentiel*
Je ne suis pas maîtresse du monde. Je suis juste l'héroïne des deux. Et si toutes mes contes de fées m'ont appris quelque chose, c'est que c'est toujours les gentils qui gagnent. *a un petit rire, qui étouffé derrière l'énorme sourire improbable du masque, sonne d'une façon étrange, maléfiquement loufoque* Vous n'avez pas encore vu ce qui se cache derrière tous ces masques.
*invoque un pantin défensif devant elle*
Oh, et avant de commencer tout ce bordel. Vous avez quand même faux. Je ne suis pas l'Orgueil ; je suis l'Avarice. *attache ses fils de marionnettiste aux fourreaux de Santiago et les tire jusqu'à elle ; ils se fichent dans le corps du pantin défensif, qui ne bronche pas*

... Vous avez parfaitement raison. Je ne sais d'ailleurs même pas pourquoi je suis là, en fait. Seulement vous vous êtes dressé dans le chemin, et je supposais que la bonne chose à faire était de vous éliminer. Assez simpliste, comme pensée, faut avouer. *soupire* Vous avez un certain rapport avec Fenrir, non ? Je me fiche un peu de sa légende, qu'il soit un démon destructeur ou un sain m'importe peu. Si je le peux, je voudrais bien lui parler, mais autrement, je peux m'en passer. En tous les cas, je ne vois pas ce qui me pousserait à vous combattre en fin de compte, si ce n'est le fait que vous êtes considéré comme un boss.