Apocalypse

Si je prend juste le Coyote, tu me tues ?

T'es sur? Tu peux encore prendre trois autres items en plus.

Les autres ça serait du gâchis je sais que je m'en servirai pas. Mais j'avais besoin d'une arme à feu de haut niveau.
*Prend donc le coyote, ravi*

Forgée par Mars...elle te sera utile.

Peut-être que je distribuerais le reste à mes subordonnés alors, après avoir fait ma sélection...

*prend le coffre, avec le reste*

J'y compte bien.

Plus personne à dérouiller dans le coin ? On remet ça très vite, tu m'appelles si t'as des soucis.
*Serre vigoureusement la main d'Hanni, avant de disparaitre avec Sérïn, décollant avec son vaisseau quelques minutes après*

*apparaît sur le siège passager du vaisseau de Wolf, assise bien sagement comme la petite fille polie qu'elle est* Eh bien, vous n'êtes pas très avare. Êtes-vous donc totalement satisfait de ce que vous avez déjà en votre possession ? Il est rare que je croise des gens dont la nature n'est pas forcément d'accumuler encore et toujours.

*Eclate de rire, visiblement peu surpris*

Je me doutais bien que vous viendriez, mon flair ne me trompe que très rarement. Du reste, non. Je ne suis pas satisfait, je suis même loin de l'être. Je suis tout à fait prêt à accumuler des tonnes et des tonnes de biens en tout genre, à la condition qu'ils me soient utiles. Je n'aime pas m'encombrer.
Mais peut-être vouliez-vous que je vous donne ces jouets ? *Ebouriffe les cheveux de la petit fille comme aurait pu le faire un membre de sa famille -si elle avait été une vraie petite fille, mais garde son sourire habituel. C'est clairement de la provocation*

*affiche un sourire confiant, visiblement imperméable à toute tentative de provocation* C'est mignon, vous continuez tout de même de me vouvoyer même en vous moquant. Je suppose que ce que vous sentez ne vous laisse pas indifférent. *en effet, l'atmosphère est atrocement lourde, et n'importe quel non-initié sentirait la puissance psychique qui émane de cette enfant à des mètres...*

Je me doutais bien que vous n'étiez pas différent des autres. Ce n'est pas un reproche; c'est dans votre nature. Je crois bien qu'à un certain stade de votre espèce, ce comportement était absolument essentiel à votre survie. On ne peut blâmer quelqu'un d'être bien adapté. *hausse les épaules* Mais je ne suis pas là pour discuter sur la nature de vos désirs, Wolf. Plutôt sur celle de votre âme. Vous avez un joli potentiel, mais quelque chose vous bloque. Un poids pèse sur vous. Vous en avez conscience, mais vous ne savez pas à quel point vous êtes aveuglés. *pose son regard intensément mauve sur les yeux de Wolf* Un petit voyage en votre âme vous rendra beaucoup plus apte à vivre ce qui vous attend.

Oh, j'ai oublié de préciser que c'était non-négociable. *en regardant dehors, Wolf peut très bien distinguer que le décor a changé... il n'est plus en train de voler dans un ciel bleu mais bien dans un épais brouillard... les senseurs du vaisseau sont totalement muets, sa radio ne capte absolument rien* Il y a une clairière juste devant. Vous pouvez nous poser.

*Ne lâche aucun cri de surprise, ou même d'affolement. Sourcille simplement, ce qui revient finalement au même*
*Se met à trifouiller dans sa veste, jusqu'à sortir sa bouteille de bourbon et son paquet de cigarette. Soudain plus calme, comme s'il s'agissait de saintes reliques pour lui*

*Pose finalement le vaisseau et s'empresse de sortir, ayant légèrement oublié la gamine tout d'un coup*
Bordel de m*rde. C'est quoi ce truc là ? *S'empresse d'allumer une cigarette et d'ouvrir sa bouteille, semblant s'arrêter pour réfléchir*

*Se fige d'un coup*
Evidemment. Le rêve agité.

*Se tourne vers Restless*
Pourquoi m'emmener ici ?

*sort à la suite de Wolf et fait quelques pas dans le brouillard*

Je vous l'ai dit, mon cher. Il y a beaucoup de leçons à apprendre pour vous. Et ça commence ici et maintenant. *s'avance encore et encore dans le brouillard devant Wolf, devenue presque totalement absorbée par lui* Je vous donne quand même un indice pour commencer. *sa voix presque éteinte continue :* Je vois une pancarte juste ici... *s'évapore apparemment complètement*

*Lâche un profond soupir d'agacement. Pourtant, quelque chose l'empêche de se jeter sur la gamine pour répandre ses tripes sur le sol comme il aurait pu le faire avec n'importe qui d'autre. Sent qu'il a bel et bien quelque chose à faire ici, ou bien quelque chose qu'il désire bien qu'ignorant tout du rêve*

Une pancarte, hein. *S'enfonce dans le brouillard à la suite de la gamine, flairant toutefois qu'il ne la retrouverait certainement pas de si tôt*

Tshé. Conneries, tu gis dans mon crâne mon vieux. *Bois une gorgée de bourbon, comme pour se donner du courage, et prend à gauche*

*Se tient quelques secondes devant l'entrée du bâtiment, comme s'il le jaugeait, avant d'en franchir la porte. Est en apparence détendu, mais se tient en fait sur ses gardes depuis le début.*

Plus de 2700 ans de vie, et tu ne connais rien de cet endroit, qu'est-ce que t'as foutu ?

Quelque part dans un endroit hors du temps et de l'espace...

: Boss, nous avons piraté une communication envers les trois camps...

*lui montre la vidéo*

Boss: Beau travail, Tommy. Mettez à jour le Daten! Recherchez des informations sur ces "individus", ce qui les lie. Ce groupe et nous...avons peut-être des intérêts en commun!

: Bien maitre...tihihihihihi!

: *se relève, guéri de ses blessures) KYA...

*Sursaute en entendant la voix très familière d'Houzuki, ce qui est compréhensible : la voix d'Houzuki suffisait à faire fuir bon nombre de ses ennemis de son vivant, alors plusieurs mois après sa mort...*

Alors, tu t'es finalement décidé à venir me hanter ? *Lance ça avec son insolence habituelle, au détail près qu'on notera un léger tremblement dans sa voix*

*Ne se défile pas pour autant, et s'avance vers le comptoir en scrutant les allées une à une. Sans toutefois se donner la peine de faire de la lumière, certainement trop préoccupé pour y penser*

*Saute par dessus le comptoir, et s'assure que personne n'est prêt à lui bondir dessus de l'autre côté, avant de se concentrer sur le lecteur de disque, essayant de le faire fonctionner normalement*

*S'écrase par terre à cause de la main retenant sa cheville*

Hmpf, qu-LACHE MOI ENFLURE ! *Bat des pieds de façon plutôt ridicule, mais parvient ainsi à se mettre sur le dos puis en position demi-assise*

Comme tu voudras. *Sérïn se matérialise dans ses mains, et vient trancher la main encore accrochée à sa cheville*

*Reste au sol et parvient de justesse à s'en tirer avec un simple haut-le-coeur, quand la voix d'Houzuki se met à résonner*

Assez... *Se relève, difficilement et empoigne sa lame* Tu es mort... MORT, MORT, MORT ! *Enfonce sa lame dans le lecteur de disque entre chaque "Mort"*