Nabata

Saya a écrit:

*se colle à Archer, seule enfant sage de la soirée, mais se sentant étrangement visée par les reproches d'Hannibal*

J'ai mal fait de séparer les deux monsieurs ?...

Non, tu as bien fait, tu n'as pas été punie...mais je suis surpris, ma petite sœur est explosive...

*escorte Saya jusqu'a sa chambre*

Je garderais ta porte au péril de ma vie!

"Petite" sœur ?
Donc, mademoiselle Reaper est votre grande sœur ?

*taquine Archer*

Pourquoi devriez-vous rester à la porte ?

Reaper est ma jumelle! Elle a disparu! Comme Diabolo. Céréza est notre petite soeur. Si tu veux mon avis, l'absence de Reaper me fait des vacances!!!   

Je ne veux pas qu'un méchant te fasse du mal!

... Qui a disparu ?

*dans le dos d'Archer, comme apparue, se tient Reaper*

Je sais juste me faire discrète, contrairement à certains. C'est le principe même des tireurs de précision...

Mais pas la peine de rester à la porte, monsieur Archer ! Vous pouvez rentrer !

Oh, bonjour mademoiselle ! *tout sourire*

 

Frangine! J'ai cru que tu étais morte! Tu as vu notre "nouvelle" sœur? Elle a démoli la fête de père presque à elle toute seule! A grand renfort de magie! Il n'était pas content, le vieux! Il l'a confiné 7 jours dans sa chambre sans magie. Je ne l'avais jamais vu comme ça...sauf sur un champ de bataille.

Saya-Chan, garder une porte, c'est une occupation!

Elle tient trop de père... C'est pour ça que je préfère me tenir à distance. Tu gères plutôt bien les excentriques, moi j'ai un peu de mal... *soupir*

Mais-mais ne restez pas à la porte ! Rentrez donc ! >.<

*tire Archer par la manche et le traîne à l'intérieur*

Boris a rejoint sa chambre, mais nul ne sait ce qu'il peut bien y faire. Boire peut-être ? Surement. Assurément même !

Inutile d'espérer croiser la Balle Pourpre dans le palais, celle-ci a quitté les lieux pour récolter des informations parmi la masse. Car oui, les bons éléments sont dissimulés un peu partout sur Nabata. Le travail est de taille, mais la militaire est habituée à des missions bien plus rudes et périlleuses que celle-ci. En gros, nous la reverrons bientôt.

Igños glande toujours sur le toit, ne sachant pas trop quoi faire de son temps libre. Après tout, là d'où il vient, il devait sans cesse se battre pour survivre. Sa propre ombre était son ennemi. Ses propres alliés se retournaient contre, ou mourraient sous ses yeux. Il était impuissant face au Tyran. Incapable de sauver la moindre vie face au PsyCorruptium d'un scientifique ayant grimpé les échelons pour devenir un Dieu. En clair, faire parti de ce monde, même provisoirement, lui sied bien. Cela ne l'empêche pas de penser à sa mission.

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Neryos dort actuellement, mais il fait bien plus que ça. Il rêve. Vous allez me demander : "Mais de quoi pourrait-il bien rêver ?", Du pire, bien entendu.

Dans son rêve :

Neryos se retrouve les pieds embourbés dans un liquide de la couleur du sang. L'odeur est presque insupportable. Il a même l'impression de ne pas rêver. De vivre cette scène pour de vrai. Le lieu lui est familier. C'est dans son esprit qu'il fût crucifié à des cristaux, scellé par son démon. Muselé par Lavos, "Le Démon de la Destruction", "Le Dévoreur de Mondes". S'il est en vie, c'est grâce à ses alliés. A Soyren. A Pogoléon. A Hannibal. Même a Seiko ! Le simple fait de parcourir les lieux du regard lui rappelle le visage de ses sauveurs. L'horizon, plus noir que noir, semble infini. Rien n'indique que cet espace soit limité. Le simple fait de prononcer un mot provoque de nombreux échos. Après cet instant de nostalgie, Neryos se décide à marcher. Des efforts anodins mais d'une difficulté sans pareil dans ce liquide visqueux.
Au bout d'un moment, le Pr finit par remarquer une vive lueur bordeaux. Une seule et unique. Cette seule lueur lui traverse le dos pour le faire trembler violemment sur place. Ignoble frisson glacé dû à la présence de son fléau. Il lui suffit d'un instant pour lever les yeux et apercevoir l'immense silhouette recouverte de gigantesques pieux acérés. Pas de doute, le démon est venu une nouvelle fois pour le tourmenter. Pas de repos pour les damnés.

Neryos, sur ses gardes : Je commence à m'habituer à te voir me rendre visite. Mentit-il suite à son frisson incontrôlé.

Lavos : Une sœur agitée... Un père froid comme la mort... Consumé par la vengeance. La voix du démon résonne, troublant les pensées de Neryos.

Neryos, fronçant les sourcils : Qu'est ce que tu me chantes ? N'aurais-tu pas oublier de mentionner "le Démon insatiable et tourmenteur" ? L'hôte reste fier, mais le stress est à son comble.

Lavos : Quelle jolie petite famille. Muah ah ah ah. J'espérais vraiment les avoir anéantis avec cette planète. Sans compter toutes ces petites vies dévorées par mon souffle impitoyable.

Neryos, se grattant l'arrière du crâne : Quelle pourriture exaspérante. 'Faut croire que ton plan à partiellement échoué ? Nous sommes tous les deux criblés de remords. Toi de nous avoir loupés. Moi de ne pas t'avoir tué.

Lavos, son œil luisant d'un feu démoniaque : Ridicule petit être. Ce qui n'a pas été fait le sera bientôt... Ta sœur. -La voix résonnante du démon traverse Neryos et le paralyse sur place, en même temps que lui transmettre des images de sa sœur morte, lacérée, abattue, piégée dans le Syphonium- Ton père. -Même chose, Neryos se teint le crâne suite à la vision de son père tranché de tous les côtés, brisé par les griffes du démon, puis réduit en cendres suite à une vive explosion- Tes proches. -Les visions deviennent de plus en plus longues, insoutenables, atroces. Hannibal, Staccato, Scarlet, Boris, Soyren, Seiko, Pogoléon, Igños. Tous périssent les uns après les autres ! Pas de survivants, juste des corps mutilés. Réduits à devenir des carcasses sanglantes inertes.- Et enfin... TON MONDE ! -Vision apocalyptique d'un monde ravagé par des projectiles conçus par le démon. Planète par planète. Galaxie par Galaxie. Tout y passe. Le monde est brisé. Dévoré par un monstre. CE monstre !-

Neryos, un genou à terre et un œil clos, l'autre observant son bourreau : Non... Fadaises... Ça n'arrivera jamais....Je t'en empêcherai ! T’entends ?! TU CRÈVERAS AVANT MOI !

Lavos, sa voix plus résonnante que jamais : M'en empêcher ?...A quoi bon ? C'est de tes propres mains que ce monde souffrira mille douleurs. Que tes proches mourront ! MU HA HA HA HA !!

Le liquide se transforme soudainement en lames rouges. Innombrables, un véritable champs de pointes menaçantes. Inutile d’espérer en sortir indemne. Et ça, Neryos le sait plus que quiconque. Elles se jettent sur lui à grande vitesse pour l'empaler !

...

Puis plus rien ! Neryos se réveille en sursaut, hurlant à la mort, perlant de sueur à grosses gouttes ! Haletant. Incapable de contrôler sa respiration. Il regarde aux alentours et remarque qu'il se trouve dans sa chambre. Les rêves du Pr sont devenus très réalistes. Son cœur bat plus fort que jamais. Il ne peut pas prononcer un mot. Juste respirer fortement, comme une bête tentant vainement de sauver sa peau. Il pose son regard de fauve sur ses mains moites en silence, reprend sa respiration lentement, très lentement...

Neryos, essoufflé mais parvenant à aligner quelques mots : M*rde... M*rde... C'est encore pire que prévu... De mes mains, hein ?... C'est quoi ?... Un message ? *Tousse à en cracher ses poumons*...Des menaces ?... Sœurette... Urhh...

Neryos se met à penser à toutes les personnes qui l'entourent. A son idée, concernant cette fameuse unité spéciale. Peut-être souhaite t-il simplement s'encadrer de valeureux combattants dans un but précis ? Non pas uniquement pour abattre Céasar, mais pour s'empêcher lui-même de nuire aux autres ? Qui sait ?
Quoiqu'il en soit, inutile de se remettre à dormir. Au boulot ! Neryos, plus motivé que jamais mais la tête dans les nuages suite à ses atroces visions, quitte sa chambre sans dire un mot. Où ? Autant lui demander vous-même.

Arenthor, posant un moment son bouquin pour observer la chambre de la sorcière : Hmmm...

Ryanne doit à poings fermés. Un petit fil de bave lui dégoulinant des lèvres. Le même sourire que lorsqu'elle est éveillée. Elle semble content. Malgré toutes ses bêtises, elle ne regrette visiblement rien ! Pas étonnant, selon le démon. Celle-ci s'est dévêtue de ses habits de Maid pour rester dans sa tenue de sorcière moulante. Celle-là même qu'elle porte sous sa toge "Tyry". Contrairement à son frère réveillé en sursaut, elle semble dormir en toute tranquillité et rêver de belles choses... ou d'affreuses farces selon le personnage !

Arenthor, refermant la porte : Au moins, nous ne risquons plus rien ainsi. *Il se remet à lire le Tome "Mantra" en silence, son marteau posé tout contre le mur en cas de danger*

*Se fait réveiller par le personnel d' entretien*

... Mmmmh ?

*Va sur le toit pour prendre l' air, et y rencontre Igños*

Tiens, t' es là, toi ?

Diabolo a écrit:

Neryos a écrit:

Neryos dort actuellement, mais il fait bien plus que ça. Il rêve. Vous allez me demander : "Mais de quoi pourrait-il bien rêver ?", Du pire, bien entendu.

Neryos : NOOOOOOOOON ! PAS MES SOUS !
Banquier : Je suis désolé, mais c'est la procédure. Vous devez trois millions de mordz à l'état Twulipien, aussi nous allons saisir tous vos biens. Y compris votre Kiki en or.
Neryos : MES SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSOUS !

T'es pas c*n du tout ! J'aurais dû parodier le début du rêve avec ça !!! Surtout que mon fric s'est évaporé dans cette fête empoisonnée par les sorcières ! xD

Neryos est parti "on ne sait où".

Igños, détournant son regard du ciel pour voir Staccato : Il faut le croire. Tout comme vous. *Court moment de silence* Je suppose que vos "bijoux de famille" vont mieux ? Je n'imagine pas la douleur ressentie. Que venez-vous faire sur le toit, à cette heure ?

Ouaip, ça fait aller mieux.

*S' assoit au bord du toit*

J' étais venu... Trouver un endroit où me détendre un peu. Des mecs s' occupent de rénover et nettoyer la salle en bas. Ça m' aidait pas vraiment à dormir.

*Se tait un instant*

Et toi ? Si tu préfères êt' seul, j' peux aller voir si l' herbe est plus verte ailleurs. ~

Igños analyse Staccato, et surtout sa manière de s'assoir. Comme celui-ci n'a pas poussé un petit cri de douleur en se posant, il peut donc en conclure que le Twulipien n'a pas mal aux cou*lles. Une bonne chose !

Igños, effectuant un geste à la volée en direction des étoiles : Oh, vous savez. Je m'habitue assez vite au changement. Et puis, je commence à croire qu'être entouré d'alliés me rend quelque peu euphorique. Votre présence ne me dérange pas le moins du monde. *Une fois ses mots prononcés, Igños s'arrête de parler pour regarder les innombrables étoiles qui sillonnent le ciel*
Vous vivez une très belle époque. Et je suis tout aussi chanceux que vous de pouvoir en profiter, bien que cet univers ne soit pas le mien.

Ah, peut-être bien. Et c' est à nous d' apporter cette beauté sur Leviumbra.

Tu sais, on peut changer d' univers, mais ce sont toujours nos émotions qu' on a. Et au final, c' est toujours pour elles qu' on se bat et qu' on vit, pas vrai ?

*Ferme les yeux*

Même Céasar. Ses actions sont certainement son seul moyen de ressentir quelque-chose.

*Les rouvre*

Quel dommage que pour celles d' un seul homme, il faille sacrifier celles de tant d' autres.

*Pense à Pogoléon*

C' est triste à dire, mais contrairement à ce que certains peuvent espérer, le monde n' est pas fait pour tous nous accueillir. Il faudra forcément en supprimer une partie, que ce soit nous ou quelqu' un d' autre qui s' en charge... Mais pas forcément parce-que d' autres disent qu' ils font le "mal".

*Regarde Igños*

Hé, j' imagine qu' on s' bat pour la "justice", hein ? J' avais oublié ce que ça faisait, de laisser mourir des gens. Mais autant se réjouir d' être encore là, puisque notre monde nous le permet.

Igños, pensif : Des émotions... venant de Céasar ? Ce monstre aurait un cœur ? Permettez-moi d'en douter.
Un jour, ma maitresse m'a dit ceci : "Celui qui nourrit l'ambition dans son cœur porte un tigre dans ses bras"... j'y crois tout autant qu'elle.
*Aperçoit le regard intrigué de Staccato à la mention du mot "Maitresse"*
Heum... Je l'imagine mal me répéter cette phrase en ce monde. Certes.
*Hausse un sourcil en entendant parler de "justice"*
Cette notion ne m'est pas inconnue. Peut-être cette voie est-elle aussi la mienne ? Mais "une Justice sans force est impuissante", d'où mon échec et ma venue sur ces terres. C'est une façon de vivre, tout comme celle de répandre la peur et la destruction, à la manière du Tyran.
*Moment de réflexion intense*
Tout bien réfléchi, je suis du côté de la "justice". Une justice qui consiste à mettre fin à la folie de Céasar Vulturès pour un monde meilleur. Ensuite, je disparaitrai. Je ne sais pas de quelle manière, si je souffrirai ou non, mais cela ne m'inquiète pas le moins du monde. La seule peur qui me taraude est celle de l'échec. Si mes alliés actuels meurent ici, ma mission ne voudra plus rien dire. Quand bien même le scientifique fou perdrait la vie. Je suis là pour vous épauler, mais vous tous... vous représentez le véritable futur de ce monde.
*Parcourt le ciel du regard, avisant les plus grosses étoiles scintillantes*

Quoi, Jules César possède un cirque ?

*S' allonge*
*Met ses bras sous sa tête*

Si tu dois partir... Fais-le juste d' une façon qui ne te fera pas regretter d' avoir à le faire.

*Se redresse après un moment*

Dis, ça fait quoi d' avoir une "mission" ? Je veux dire, j' ai bien un objectif... Mais il n' est que personnel. Je suis seulement là pour moi et pour un vieil ami. Et ce n' est pas non plus me but suprême et la raison de mon existence...

Igños, l'air songeur : Un cirque ? Si ce n'est pas plutôt un gigantesque centre bourré d'expériences ratées...
J'espère ne rien regretter le moment venu. Advienne que pourra.
Eh bien... Avoir une "mission" nous pousse à suivre un chemin spécifique. Cet objectif précis m'interdit de reculer, il faut continuellement avancer quelque soit le danger encouru. Tout ceci m'offre certains avantages mais aussi des inconvénients. J'ai parfois l'impression que mes faits et gestes sont programmés, guidés par une force irrépressible. Cette sensation est surement dû au "Sortilège" qui m'a fait voir le jour. En clair, je ne peux pas toujours faire ce qui me plaît. Je ne m'en plains pas, car ce but à atteindre me donne une "raison d'exister".
*Regarde Staccato, le visage légèrement penché d'un côté*
Et vous ? Quelle est donc cette fameuse "raison personnelle" ?

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Neryos a quitté le palais pour se retrouver seul, tout proche d'un oasis. Il souhaite surement s'entrainer seul dans une zone déserte pour ne pas blesser autrui. Il faut qu'il apprenne à se contenir un peu avant de partir en mission. Il en va de la vie de ses proches, troublé par les visions apocalyptiques de son Démon, il n'a plus trop le choix.

Neryos, marchant dans le désert : Tuer mes proches de mes propres mains ? Hin !... Jamais. Je ne le permettrai pas. *Regarde l'intérieur de ses mains puis les referme* Tu ne prendras plus le dessus sur moi. J'utiliserai ta haine et ta colère sur mes pires ennemis ! *Pense à César, Tommy, Nibelheim... Mais bizarrement, aucunement au Désastre!* ...Humpf *Retire sa veste pour s'entrainer, se sentant parfaitement capable de la brûler par mégarde*

Arenthor garde toujours la porte du Stratège en silence. Ryanne dort encore, pas un bruit n’émane de la chambre. Le calme absolu.

Arenthor, lisant le Tome "Mantra" : ...C'est intéressant. Combien d'années de recherches sont consignées dans cet ouvrage ? Et comment peut-on confier un grimoire aussi dangereux à une fille aussi... imprudente ? Hm ?

Parmi toutes les affaires de Ryanne, sa "Besace Ensorcelée" se met à bouger bizarrement. Juqu'à sauter sur elle-même.

Arenthor, perplexe : Qu'est ce que ...?

La Besace s'ouvre et dévore les affaires qui l'entourent ! Quel appétit insatiable pour un sac d'une si petite taille !

Arenthor, l'avisant d'un air étrange : Cette chose est... vivante ? *Le démon pense à la menace de la malédiction de Ryanne, en cas d'affaire égarées et se lève aussitôt!*

Une fois les affaires de la sorcière englouties, celle-ci se jette sur le marteau du garde du corps pour l'avaler !

Arenthor : Hors de question. *Arenthor repousse la besace d'une main et la plaque contre le mur*

La Besace grogne et tente de dévorer la main du démon !


Arenthor, las : Suffit. *Il la jette dans le mur opposé, ce qui provoque un bruit sourd ! On a l'impression que la besace pèse une tonne à cause des innombrables accessoires qu'elle contient, et pourtant ce n'est pas le cas, Ce bruit ne va pas plaire aux voisins !!* A t-elle eu son compte ?

Faux. Elle se rebiffe et tente d'avaler le démon d'une traite ! Arenthor soupire.

Saya a écrit:

Mais-mais ne restez pas à la porte ! Rentrez donc ! >.<

*tire Archer par la manche et le traîne à l'intérieur*

*est tiré de force dans la chambre de Saya*

Je-je...je garde la porte!

*reste derrière la porte, mais dans la chambre*

*soupire*

Qu'est-ce que vous faites ?

Il y a longtemps, un type a tué mon meilleur ami et a manqué de faire de même avec moi... Enfin, je pensais qu' il l' avait tué. J' ai des bonnes raisons de penser qu' il s' est réincarné ailleurs...
Mais je veux quand même savoir pourquoi ce type, Sy... Nodel... A fait ça. Et l' empêcher de recommencer avec d' autres moins chanceux que moi.

*Regarde au loin*

Et pour ce faire... J' ai besoin de CA. Je sais que c' est en Warz... Ou que ça l' était, au moins, y' a pas longtemps.
C' est drôle, j' ai l' impression d' avoir été très proche de CA il y a très peu de temps... Je me demande pourquoi... Je n' ai rien fait...

*Remarque la guerre épique d' Arenthor*
*Et ne laisse pas le temps à Igños de poser des questions sur cet objet recherché*

C' est quoi, ces bruits !?

Citation :

Neryos a quitté le palais pour se retrouver seul, tout proche d'un oasis. Il souhaite surement s'entrainer seul dans une zone déserte pour ne pas blesser autrui. Il faut qu'il apprenne à se contenir un peu avant de partir en mission. Il en va de la vie de ses proches, troublé par les visions apocalyptiques de son Démon, il n'a plus trop le choix.

Neryos, marchant dans le désert : Tuer mes proches de mes propres mains ? Hin !... Jamais. Je ne le permettrai pas. *Regarde l'intérieur de ses mains puis les referme* Tu ne prendras plus le dessus sur moi. J'utiliserai ta haine et ta colère sur mes pires ennemis ! *Pense à César, Tommy, Nibelheim... Mais bizarrement, aucunement au Désastre!* ...Humpf *Retire sa veste pour s'entrainer, se sentant parfaitement capable de la brûler par mégarde*

Hannibal dort toujours avec sa famille. A l'oasis, Neryos tombe sur un curieux personage...


: ...Tu dois être une personne qui est l'hôte d'un démon. Laisse moi te poser une question simple. Le jour ou tu n'auras plus d'ennemi, que feras tu de cette haine?