Patate Wars : Mission Terre Reloaded

Je le dessine avec des cheveux en pétard la plupart du temps ^^
Sinon ouaip je sens que mon Flo va encore faire des saloperies

Bande de jugeurs hâtifs. Genre parce que Wesker est aussi infidèle qu'une prostituée, Flo est pareil xD ARE YOU MAD? Madnes? This. IS. SPARTAAA

Wesker a trahi moins de monde que Flo

Euh, trahir les S.T.A.R.S., puis Umbrella, puis sa propre Organisation, si, ça fait du monde.

Moi les PBs les PRs les TWs x)
Bien aussi =D

Ah, tu nous a trahi?
Tu a oublié de trahir les Pv et les mercenaire.

Ouaip mon premier clan c'était les PBs, et je vous ai bombé laggle avant de partir, vous savez que j'aime bien tirer un trait sur le passé de façon radicale. x)

Flo : Mmmmmmh... BOMB!

Dès ses débuts.

Wesker : Flo you're merely postponding the inevitabOle you MUST use Uroboros to be the Creator!
Flo : NO NEVAR!

Chapitre XVIII : Première confrontation

Le 13/12/09, 22 h 12, non loin de Lagos.

L’équipe Delta va bientôt sauter en parachute du C-27J qui les transporte, ainsi qu’un peu moins qu’une trentaine d’autres soldats. Certains sont à l’aise, d’autres font ici leur première réelle patrouille, et sont ainsi soumis à un stress non négligeable. Flo se tourne vers son équipe.

« Vous êtes prêts, les mioches ?
-Oui. Alea jacta es… lui répond Timo en latin.
-Prête ! ajoute Marine.
-Hm… » termine Haruka en hochant la tête, d’un air peu rassuré.

Flo regarde les trois individus. Il se demande s’ils sont prêts à affronter un magicien expérimenté. Il chasse cette pensée pessimiste en se disant qu’ils n’ont pas été formés pour rien. Après tout, il doit diriger son équipe sans états d’âmes, pour rester coordonné avec les autres troupes. Ils sont, en tout, huit équipes : Delta, Bravo, Thêta, Stigma, Omicron, Echo, Charlie et Lambda. En clair, cette opération ne peut que bien se dérouler.

« Et surtout, pas de tirs sur les civils, même accidentels, c’est clair ? rappelle Flo.
-Oui ! » répondent en chœur Haruka, Timo et Marine.

Le cockpit s’ouvre, tous se préparent à sauter. Les lampes-témoins rouges à l’intérieur virent toutes au vert. Le chef de l’équipe Delta s’élance, les autres sautant après lui.
Le vent fouette le visage de Timo tandis qu’il tombe. Au signal, il ne tarde pas à ouvrir son parachute. Sa descente ralentit, jusqu’à ce qu’il plane.

Mais quelque chose d’inattendu survient, évidemment : une tempête se lève d’un seul coup. Le vent disperse les parachutistes, et chaque membre de l’équipe Delta arrive à se prendre la main à temps. Elle est emmenée vers la périphérie de Lagos, tandis que d’autres sont envoyés à divers endroits par les rafales. Marine remarque avec effroi que l’avion qui les transportait il y a quelques instants fonce tout droit dans une tornade, tourbillonne et s’écrase tandis qu’eux atterrissent délicatement sur une route. Elle ne peut s’empêcher de faire une remarque tout de suite :

« Chef, c’est pas normal ! Une tornade, là, maintenant ?
-Je confirme, répond l’intéressé. Ca n’est pas le fruit du hasard.
-Probablement Johanna… renchérit Timo.
-Sans aucun doute… J’essaie de contacter les autres. »

Alors que l’homme aux lunettes s’affaire avec son oreillette, les trois membres restants observent les alentours avec angoisse, certain qu’un ennemi va surgir, et soudain une voix retend :

« BOUH ! »

Tous sursautent, et Haruka, après un moment de réflexion, déclare, gênée :

« Excusez-moi… C’est Ren.
-Ren ? demande Timo.
-Lui-même ! répond un être non loin de Haruka.
-Montre-toi !
-J’peux pas, je suis dans mon fourreau.
-Un fourreau ?
-Et bien… En fait, reprend la fille à la cape, c’est mon katana. »

L’épéiste du groupe semble ne pas y croire et la regarde d’un air dubitatif.

« Une épée qui parle ?
-Si je te le dis, Timo…
-Haha, il n’a pas l’air de te croire, partenaire ! s’amuse l’épée.
-Pourtant, mon épée à moi ne parle pas…
-Parce qu’elle n’est pas comme moi.
-… et c’est probablement mieux ainsi, ça me gonflerait d’avoir une épée bavarde sur le dos. »

Cela achève de faire taire Ren et déclenche un sourire en coin chez sa possesseuse. Le chef de l’équipe cesse d’utiliser son oreillette et s’avance vers son groupe, tout en déclarant :

« Personne ne répond. Ils ont tous dû se faire avoir…
-C’est pas possible ! Ils sont hyper-entraînés ! Mieux que nous, même !
-Du calme Haruka, du calme. Pour vous avoir formé, je pense qu’on s’en tirera.
-Et pour vous avoir visé, je pense que vous mourrez ! ricane une voix féminine.
-Qui-est ce ? » demande Marine.

Sur le toit d’un bâtiment désaffecté non loin se tient une jeune femme tenant un fusil d’assaut russe, ainsi qu’une autre qui jongle distraitement avec un hachoir.

« Vous avez du cran de venir me chercher ici… J’étais juste de passage dans le désert, je comptais faire ça vite, mais à cause de vous j’vais traîner ! J’aime pas le sable ! Je préfère la neige, c’est pas si compliqué !
-Mais c’est quoi son problème ?... s’impatiente Timo.
-Anya, tu sais, moi, j’aime bien le désert… C’est un lieu qui me permettra de les tuer plus vite, muchuchu…
-À ton aise, je te les laisse. C’était amusant de choper la tête de chacun des autres ! »

Anya disparaît, portée par une espèce de gros renard, tandis que Belisaria continue de regarder la troupe en contrebas. Timo s’avance d’un coup.

« Où est Diabolo ?
-Je ne sais pas où est Niichan. Johanna est déjà partie et comme vous pouvez le voir, Anya vient de s’en aller. Je suis juste là pour vous retenir, au mieux pour vous. Sinon, vous êtes morts. »

Des pics de terre sortent du sol autour de l’équipe et se rapprochent dangereusement de celle-ci. Flo attrape Haruka, Timo se charge de Marine ; tout deux sautent hors du cercle de pics pour atterrir sur le toit du bâtiment, derrière Belisaria. L’homme en blouse noire vise Belisaria de son Desert Eagle.

« Allez, on se rend. Et gentiment.
-J’ai l’avantage, vous savez. »

À peine le doigt touche t-il la détente qu’un mur de sable s’élève à proximité de la fille de la terre et la protège des balles. De l’autre côté, une énorme masse de sable se soulève, avant de se transformer en vague, poussée par une impulsion, pour s’écraser sur le groupe. Marine désigne une trappe sur le toit.

« Dans le bâtiment, vite ! »

Tous se ruent dans le bâtiment, exception faite de Belisaria, qui ne craint rien de son attaque. Le sable cause un bruit titanesque en frappant le béton de plein fouet.

« Où est-elle, maintenant ? »

Du sable rentre par les fenêtres brisées, tandis que chacun observe les alentours, l’arme sortie. Le sol se fissure soudain, des masses inimaginables de sable sortent et poussent les soldats vers la surface tout en ouvrant le bâtiment, broyé en deux. De nouveau sur le sable, chacun tente de se relever du mieux qu’il peut, tandis que Belisaria saisit Timo avec un appendice de sable relié au sol.

« Bon, bon. Je me souviens de toi. Des quatre là, tu es un des plus dangereux. Tu vas donc mourir en premier. »

Un autre tentacule de sable émerge et prend la forme d’une lame acérée, posée sur la gorge de l’épéiste immobilisé.

« Ne bouge pas. Ca ne sera pas long. »

C’est à ce moment que Belisaria est projetée, et s’écrase sur le sable à plusieurs mètres de là. Flo a fait usage de sa force surhumaine pour lui foncer dessus et la frapper d’un coup de poing. Ensuite, il sort son Hydra, la vise et lui tire dessus, accompagné de Marine. Mais Belisaria s’est déjà transformée en sable, et se mélange aux grains.
Haruka, peu rassurée, demande :

« Elle est partie ?
-Sûr et certain, partenaire ! répond Ren.
-En effet. Elle s’en est allée. On ne doit pas nous juger comme une menace très importante pour le moment… Ou alors on l’a vraiment surprise.
-Ils ont tué tous les autres ? demande Timo.
-Probablement, si plus personne ne répond… »

Deux personnes sont donc venues à bout d’une trentaine de soldats entraînés. Ils n’y croyaient pas, mais force est de le croire : Ils ne sont probablement pas à la hauteur… La ville est silencieuse. Seule la voix de Flo trouble ce silence.

« QG, je demande extraction immédiate… »

*attend un Dudu vs Beli*

Tu mourrais, je pense x) Ou pas. J'y ai pas pensé à celui là ^^

:p
Hate de lire la suite.
Par contre je me perd toujours autant dans les personnages...

Tu confonds qui et qui? J'ai pourtant fait un bon chapitre de descriptions :p

Je sais mais parfois quand tu remplaces un nom par un groupe de mot (comme "l'homme a la veste noire" ou "l'épéiste"), pas forcément évident de suivre...
Ok y'a les descrips avant mais me souviens pas de tout xD

Bien, mais un peu confus ^^

Aussi, pense à ajouter des "dit Beli", "dit Flo", les dialogues ne sont pas forcément clair, c'est ce que Lerok doit vouloir dire :/

T'as qu'à dire que chacune de mes paroles est énigmatique :u

Flo a écrit:

Aussi, pense à ajouter des "dit Beli", "dit Flo", les dialogues ne sont pas forcément clair, c'est ce que Lerok doit vouloir dire :/

Quand je ne repète pas, c'est que c'est la dernière personne. Genre :

"blabla, dit 1.
-pouêt, répond 2.
-CHEWBACCA!"

Chewbacca est donc dit par "1". Ca m'évite de répéter en permanence "dit X". ^^

Et Flo, pour ton histoire de remplacement, si je devais dire "Flo" en permanence, ça ferait très vite lourd...

Je sais, mais c'est pas toujours clair...
Pour les dialogues essaie quand même de rappeler régulièrement qui parle. Dans les longues séquences y'a besoin.

Chapitre XIX : Justice

Le 13/12/09, 22 h 21, Lagos.

Johanna attend sur un toit. Elle observe les environs. Elle n’aime pas cette atmosphère oppressante… Elle veut être dans un lieu sûr. Anya arrive en peu de temps, et déclare :

« Beli arrive bientôt. Elle s’occupe des quatre idiots qui restent, et on pourra partir.
-Tant mieux ! Je déteste cet endroit. En plus, j’ai l’impression qu’on nous observe. »

Du sable se rassemble devant les yeux des deux jeunes filles, s’agglutinant pour prendre une forme humanoïde…

« Ah, la voilà ! » dit Anya à Johanna, qui regarde ailleurs.

Le sable perd son aspect granuleux, pour prendre une texture de tissus organiques et synthétiques. Les deux filles sont interloquées devant le spectacle qui se présente à elle.

« Nyo, salut les filles ! » les salue Addun d’un air joyeux.

Il manie son oreillette comme s’il ne sait pas s’en servir, tout à fait tranquille devant ses pires ennemies.

« Allô, Ely, tu me reçois ? Nan, ça doit être le mauvais bouton… Et là ? Non, toujours pas…
-NAN MAIS TU TE CROIS OÙ LÀ ?! crie Johanna, enragée.
-Ben j’essaie de joindre Ely quoi. {BIIIP!} elle est conne celle-là ou quoi ?
-J’VAIS LE CREVER ! »

Une bourrasque de vent fait s’envoler Addun, qui n’est pas bien inquiété pour autant. Il retombe sur ses pieds non loin, et semble exulter. Les deux filles s’approchent de lui, et il leur raconte, tout content :

« Grâce à la bourrasque de l’autre, j’ai enfin trouvé sur quel bouton appuyer !
-Hein ? répond l’intéressée.
-Bah, j’ai accidentellement appuyé sur le bon bouton, et j’ai pu joindre Ely !
-Ah, répond Anya, pas très intéressé.
-Du coup, les autres vont arriver bientôt, et on va vous rétamer la gueule.
-À trois contre un, pour l’instant, t’auras du mal. »

Belisaria est apparue silencieusement juste derrière Addun, tandis que Johanna et Anya sont face à lui, et s’écartent afin de l’encercler. Elles fixent l’individu d’un air mauvais, tandis que ce dernier se gratte le crâne, loin d’éprouver une quelconque inquiétude.

« Qu’est-ce que tu fais ici ? demande l’arrivante.
-Tiens, mon apprentie ! Ca faisait un bail. Bah, je cherche Diabolo.
-Pour quoi faire ?
-Pour le tuer, tiens !
-Espèce de… ! »

Une enceinte de sable entoure le bâtiment, levée par Belisaria, folle de rage. Addun regarde l’édifice comme si ça n’est rien.

« Intéressant ! Tu t’es pas mal améliorée. »

Tandis que la masse de sable fonce sur Addun pour l’écraser, ce dernier secoue la main, et toute la matière granuleuse est expulsée vers l’extérieur. Ensuite, il s’étire et baille.

« Attaquez-le ! » ordonne Anya, l’aînée des trois.

Mais il est déjà trop tard.
Addun est déjà entouré par ses coéquipiers, et se moque :

« Qui a la supériorité numérique, maintenant ? »

Elyfinthiel se tient à gauche d’Addun, et Arwen est un peu en retrait par rapport à son époux. Lerok et Aeris surveillent les arrières des trois autres.
Johanna et Anya s’enfuient sans mot dire. Belisaria, moins rapide à réagir, tente de les suivre, mais elle ne le fait pas assez rapidement. Ses pieds gèlent sur place, sous l’action d’Arwen.

« Bon, on a une prisonnière, au moins… dit Elyfinthiel d’un air las. Arwen, tu peux la geler complètement, histoire qu’on puisse la transporter facilement ? »

L’intéressée hoche la tête, et Belisaria hurle. C’est son intention, du moins, car en un éclair, tout devient noir.

Le 14/12/09, 02 h 45, lieu inconnu.

Lorsque Beli se réveille, elle remarque directement la date et l’heure, affichées digitalement sur un mur de la pièce où elle se trouve. En examinant la pièce plus attentivement, elle remarque qu’elle est vide, dépourvue de mobilier. Une porte métallique est la seule issue, aucune fenêtre. Elle essaie de se lever, mais elle n’y arrive pas. Elle baisse les yeux et remarque qu’elle est assise sur une chaise. Attachée, même.

« Oui, c’est une salle d’interrogatoire. »

Elle lève les yeux et voit Elyfinthiel, qu’elle n’a pas remarqué avant. Elle lui lance un regard haineux. Sa colère s’accentue lorsqu’elle remarque que sa magie ne fonctionne pas, sa tentative d’empaler l’elfe sur un pic de roche ayant échouée. « C’est probablement une salle anti-magie », pense Belisaria.

« Je ne dirai rien, crache t-elle.
-On veut juste savoir où est Diabolo.
-Vous ne saurez pas.
-Pourquoi ?
-Je ne veux pas qu’il meure.
-On ne le tuera pas.
-Vous mentez !
-Ecoute, la torture est aussi interdite chez nous. Mais faudra bien que tu parles, et si je dois en arriver là…
-Je ne dirai rien. Niichan viendra me chercher.
-Bien sûr… Sais-tu où on est, là ?
-Non ?...
-On est dans une base souterraine sous le Sahara. S’il arrive à nous trouver, ça serait un miracle.
-Il viendra ! Je le sais ! Il ne me laissera pas toute seule…
-Il ne te trouvera jamais.
-Je… Je… »

Belisaria éclate en sanglots. Elle est coincée chez l’ennemi, pire, en tant que prisonnière. Et personne ne viendra l’aider.

« Allons, calme-toi. Nous, on peut le trouver, et te ramener à lui. Mais il faut nous dire où il est. »

La fille, pas dupe, lui crache au visage. Elyfinthiel, qui commence apparemment à perdre patience, s’essuie le visage et demande d’un air froid :

« C’est ta dernière chance. Où est-il ?
-…
-Répond ! »

Belisaria commence à rire, et répond :

« Là.
-Comment ça, là ?
-Derrière toi !
-Arrête de me prendre pour un idiot, ou tu vas le regretter. »

Mais en effet, Elyfinthiel entend une voix dans son dos, qui lui demande :

« Alors comme ça, on me cherche ? Ca n’était pas si dur, en fait, hein ? »

L’elfe se retourne alors et dégaine Masamune sans réfléchir. En face de lui se tiennent Diabolo, Anya et Johanna, tous trois couverts de sang.

« Tes troupes ont un niveau très moyen, Ely.
-Comment es-tu arrivé ici ?!
-Il suffisait de demander à mes deux amies ici présentes de vous suivre une fois que vous avez capturé Beli. Vous ne pensiez sérieusement pas qu’elles allaient laisser leur alliée derrière elle sans raison valable, quand même ? Que tu as été facile à piéger. »

Elyfinthiel conserve le silence, alors le diablotin continue :

« Tu as de la chance qu’on ne soit pas tombés sur un quelconque de tes gradés, sinon tu aurais perdu une unité importante. Comme Addun, ou Lerok. Mais tu as eu de la chance sur ce coup-là.
-Je ne les crois pas assez stupides pour se jeter sur l’ennemi sans réfléchir.
-Ils en seraient capables. Eh bien, je crois que je vais récupérer ma petite sœur, et puis on se casse, nous quatre.
-Au plaisir ! répond l’intéressée.
-Tu crois vraiment que je vais te laisser t’en tirer comme ça ? marmonne l'elfe.
-Assurément. »

Les trois alliés foncent sur Elyfinthiel, qui, privé de magie de par la nature de la pièce, est vaincu par la supériorité numérique.
Blessé, il est laissé dans un coin de la pièce, tandis que l’équipée de Diabolo s’éloigne, tandis que ce dernier déclare :

« Allez, à la prochaine ! Et t’as intérêt à te trouver une autre base, maintenant. On pourrait très bien revenir avec des intentions moins sympathiques… Tu es prévenu. »

Ely reste assis par terre et adossé au mur pendant un moment, jusqu’à ce qu’Arwen le trouve.

« Tu vas bien ? s’inquiète t-elle.
-Aussi bien que peut l’être quelqu’un qui s’est fait tabasser, répond ironiquement son mari.
-Ce ne sont pas des blessures graves pour notre matériel médical… Même moi, je peux te soigner. Mais il faut d’abord te sortir de cette zone anti-magie.
-J’espère bien. Où sont les autres ?
-Ils sont partis à la poursuite de Diabolo. D’après Lerok, le BPH va rappliquer, l'informe Arwen.
-Génial. Il manquait plus que ça. Ils vont encore nous empêcher de faire notre boulot, ces cons-là.
-D’un côté, c’est nos alliés…
-Mais eux ne le voient pas comme ça, remarque Elyfinthiel.
-Malheureusement. »

A voté.

Non, Ely, t'es SORTI de la section Améliorations et Idées! OAO calme toi!

Je peux tout effacer aussi, ça ne me dérange pas =D

*utilise un biniou élastique pour ligoter l'elfe fou*

*esquive (laconiquement)*